
Pascal Xicluna
« Est-ce ainsi que les hommes vivent? » Ces paroles d'Aragon servent de fil d'Ariane aux séries photographiques de Pascal Xicluna qui, inlassablement, cherche à capter les interactions entre l'Homme et son territoire.
C'est d'abord comme tireur noir et blanc que cet autodidacte affine son regard dans l'antre de son laboratoire. Durant douze années au service d'auteurs qui l'ont nourri, parmi lesquels Kavdij Sluban, Stéphane Duroy, Xavier Lambours, Paolo Nozolino, Antoine d'Agata..., Pascal développe progressivement ses projets personnels sur la ville et l'espace urbain.
Lauréat du prix « Paysages Européens » en 1998 avec « Au large du périf », il intègre cette même année l'agence Paysage(s).
Exerçant au Ministère de l'Agriculture depuis les années 2000, il réalise de nombreux reportages sur la ruralité, le monde agricole, la pêche et couvre l'actualité politique du secteur. Mais toujours, que ce soit dans un cadre institutionnel ou dans une démarche plus personnelle, Pascal interroge les relations qui se jouent entre les hommes et leurs milieux de vie, l'influence du territoire urbain ou rural sur les identités. En témoignent ses séries « Les enfants du soleil » (les territoires arides de l'altiplano et ses habitants - 2003), « Rurale migration » (l'installation d'un jeune boucher citadin dans un village de l'Orne - 2006) ou encore «We are the future » (les derniers artisans du centre historique d'Hanoi en pleine mutation – 2009).
Lauréat du concours 2012 Réponses Photo/FUJIFILM, il réalise avec le X-Pro1 « Veneziani », ses premiers portrairittoires, série de portraits d'habitants des différents quartiers de Venise.
Comme le tango argentin, une autre de ses passions, la photographie est pour Pascal Xicluna un moyen d'aiguiser les sens, de ressentir l'essence des êtres, de capter le mouvement des choses. Une révélation de soi-même, à la manière dont une photographie se révèle, dans l'intimité de la chambre noire.
Ses travaux ont été présentés dans différents festivals photographiques de France (Arles, Vendôme, Sète, Strasbourg, Avallon, Vire) et en Chine (Canton).
C'est d'abord comme tireur noir et blanc que cet autodidacte affine son regard dans l'antre de son laboratoire. Durant douze années au service d'auteurs qui l'ont nourri, parmi lesquels Kavdij Sluban, Stéphane Duroy, Xavier Lambours, Paolo Nozolino, Antoine d'Agata..., Pascal développe progressivement ses projets personnels sur la ville et l'espace urbain.
Lauréat du prix « Paysages Européens » en 1998 avec « Au large du périf », il intègre cette même année l'agence Paysage(s).
Exerçant au Ministère de l'Agriculture depuis les années 2000, il réalise de nombreux reportages sur la ruralité, le monde agricole, la pêche et couvre l'actualité politique du secteur. Mais toujours, que ce soit dans un cadre institutionnel ou dans une démarche plus personnelle, Pascal interroge les relations qui se jouent entre les hommes et leurs milieux de vie, l'influence du territoire urbain ou rural sur les identités. En témoignent ses séries « Les enfants du soleil » (les territoires arides de l'altiplano et ses habitants - 2003), « Rurale migration » (l'installation d'un jeune boucher citadin dans un village de l'Orne - 2006) ou encore «We are the future » (les derniers artisans du centre historique d'Hanoi en pleine mutation – 2009).
Lauréat du concours 2012 Réponses Photo/FUJIFILM, il réalise avec le X-Pro1 « Veneziani », ses premiers portrairittoires, série de portraits d'habitants des différents quartiers de Venise.
Comme le tango argentin, une autre de ses passions, la photographie est pour Pascal Xicluna un moyen d'aiguiser les sens, de ressentir l'essence des êtres, de capter le mouvement des choses. Une révélation de soi-même, à la manière dont une photographie se révèle, dans l'intimité de la chambre noire.
Ses travaux ont été présentés dans différents festivals photographiques de France (Arles, Vendôme, Sète, Strasbourg, Avallon, Vire) et en Chine (Canton).
Numérique ou argentique, petit ou moyen format, le choix de l'appareil photo s'inscrit dès la genèse de mes projets. Il conditionne en partie la réussite et le rendu que j'espère pour chacun d'eux.
En reportage, certaines situations demandent discrétion et rapidité. La compacité et la réactivité des Fuji X me permettent d'être au cœur de l'action et de m'adapter à ces conditions. La qualité des fichiers délivrés est bluffante pour des APS-C, jusque dans les hautes sensibilités. Idem pour les objectifs FUJINON, dont la finition et la qualité sont remarquables. La gamme s'étoffe régulièrement, signe rassurant pour la profession.
Le X-M1 et le X-T1 viennent de remplacer mes X-PRO1 et X-E1 dans mon sac photo.
Avec leurs écrans inclinables, j'ai retrouvé le plaisir et le confort de la visée ventrale des moyens formats 6x6 argentiques. Cette visée, moins agressive qu'une visée à l'œil, offre une mise en relation plus aisée avec mon sujet.
Il y a des marques qui vous marquent dans l'existence. Adolescent, mon premier appareil photo reflex fut un Fujica AX-3. Devenu photographe, j'ai acquis un Fuji 617 panoramique, puis un XPan, fabriqué par Fuji. Depuis la sortie du X-Pro1, j'ai toujours sur moi un Fuji X.
Et entre nous, le look vintage du X-T1 me fait craquer. Vous ne trouvez pas qu'il ressemble à mon vieux Fujica AX-3 ?
En reportage, certaines situations demandent discrétion et rapidité. La compacité et la réactivité des Fuji X me permettent d'être au cœur de l'action et de m'adapter à ces conditions. La qualité des fichiers délivrés est bluffante pour des APS-C, jusque dans les hautes sensibilités. Idem pour les objectifs FUJINON, dont la finition et la qualité sont remarquables. La gamme s'étoffe régulièrement, signe rassurant pour la profession.
Le X-M1 et le X-T1 viennent de remplacer mes X-PRO1 et X-E1 dans mon sac photo.
Avec leurs écrans inclinables, j'ai retrouvé le plaisir et le confort de la visée ventrale des moyens formats 6x6 argentiques. Cette visée, moins agressive qu'une visée à l'œil, offre une mise en relation plus aisée avec mon sujet.
Il y a des marques qui vous marquent dans l'existence. Adolescent, mon premier appareil photo reflex fut un Fujica AX-3. Devenu photographe, j'ai acquis un Fuji 617 panoramique, puis un XPan, fabriqué par Fuji. Depuis la sortie du X-Pro1, j'ai toujours sur moi un Fuji X.
Et entre nous, le look vintage du X-T1 me fait craquer. Vous ne trouvez pas qu'il ressemble à mon vieux Fujica AX-3 ?